Rencontre avec Maxime Lalbat, maître des lieux en Bodéga Lacroix

Le SUA vous présente les responsables de vos quatre points restauration du stade Armandie. Aujourd’hui direction la Bodéga Lacroix..

La Bodéga Lacroix est l’endroit idéal pour grignotter quelques tapas et boire un verre en toute simplicité dans une ambiance festive et conviviale ! Maxime Lalbat, le maitre des lieux, vous donne plus de détails.

Agen Rugby : Tu es 100% agenais, peux-tu te présenter et nous raconter ton parcours ?

Maxime Lalbat : Je tiens le bar M&Moi depuis une dizaine d’années, associé avec Mathieu DE CARLI. J’ai fais 10 ans au Conseil général, je peux vous dire qu’on était supporters, avec le Président du Conseil général on venait voir les matchs à Armandie. Puis ensuite avec Mathieu BLIN et Thomas LÉGER on trouvait qu’il manquait un peu d’ambiance en fin de match, un lieu de rassemblement, et on a d’abord dynamisé la Bodéga Ferrasse dans un premier temps, c’était il y a trois ans et demi environ. On y a fait de belles soirées où la clientèle du bar avait répondu présente, mélée aux supporters d’Agen, des partenaires… On avait fait une très belle fin de saison, c’était l’année où l’on gagne la Finale de PROD2 face à Mont-de-Marsan. Ensuite on a trouvé un partenariat avec le Club pour animer désormais la Bodéga Lacroix. C’est une ambiance bodega Tapas troisième mi-temps !

AR : Si tu devais te définir en un mot en tant que professionnel, ce serait lequel ?

ML : Je pense que je suis bosseur, je ne compte pas mes heures, je travaille tant que je peux, donc on va dire travailleur.

AR : Expliques nous ce que tu proposes au stade Armandie, quelles sont tes spécialités ?

ML : Principalement notre plus grosse vente reste la bière, on a depuis deux ans mis en place des assiettes de tapas pour l’avant ou l’après match, et-même pendant. Des choses simples à manger, planches charcuteries fromage, pour grignoter et partager un verre entre potes ou en famille. Nous avons également des boissons sans alcool évidemment. On a mis une sono, changé les éclairages, les gens qui bossent avec nous sont jeunes et dynamiques, des supporters du SUA. En plus on a la présence des joueurs du SUA en avant et en après match ! On essaie d’animer la bodega de manière conviviale, sympa, à la bonne franquette comme on dit. C’est ouvert à tous et c’est festif !

AR : On te retrouve où pour savourer tout ça ?

ML : Je vous attend en Bodéga Lacroix, environ 1h30 avant le match avant l’ouverture des portes, et on essaie de rester le plus longtemps possible après le coup de sifflet, maximum jusqu’à 2h. Soit on noie notre chagrin, soit on fête la victoire ! (rire)

AR : Quel est ton lien/attachement avec le SUA ?

ML : Je jouais en catégories jeunes dans ce club, mon père était supporter, dans les années 80 je faisais déjà les déplacements avec lui. Je suis attaché à l’état d’esprit du SUA, c’est un club qui est resté assez simple, humble, les joueurs y sont très abordables, pour les supporters et pour tout le monde !